Dimanche 9 septembre, ne manquez pas la fête préhistorique organisée par le Musée de Préhistoire et de Géologie de Sciez ! Animations gratuites pour petits et grands.
Un riche programme pour toute la famille
De 10 à 18h :
Des démonstrations toute la journée :
Démonstrations feu
Démonstration taille du silex
Forge avec l’association les 4 Fers en l’air
Ateliers toute la journée :
Fabrication de bijoux
Cuisine néolithique
Fouille archéologique
Art pariétal
Tir au propulseur
Ateliers du Géoparc Chablais
Ateliers de l’écomusée de la pêche et du lac de Thonon
Randonnée cueillette préhistorique : départs à 11h, 14h, 15h, 16h30
Et au menu : restauration préhistorique sur place : tartines de mammouth et côtelettes de bison (vous ne serez pas déçus !) ; buvette toute la journée.
Nouvelle vague d’exploration et
d’observations lancée sur cet alpage sans eau ! Les tannes de Nifflons n’ont
pas fini de dévoiler tous leurs secrets…
Vendredi et dimanche derniers, sous
l’égide du Geopark Chablais, des scientifiques et passionnés sont partis
explorer les alpages de Nifflon d’en Bas et Nifflon d’en Haut sur la commune de
Bellevaux.
Il s’agit des seuls alpages du Chablais sans sources d’eau !
Le nom de Nifflon vient du latin
« nec fluere » signifiant « lieu où l’eau ne ruisselle
pas ». Sur ce plateau calcaire, les eaux de pluie altèrent les calcaires,
formant des cavités appelées localement tannes (gouffres). Elles peuvent être
remplies de neige neuf mois sur douze.
Dans le passé, en l’absence d’eau, les bergers et troupeaux récupéraient la neige dans le fond des tannes, très présentes dans ce secteur de la montagne (plus d’une centaine ont déjà pu être répertoriées par le passé).
Jean-Claude Rey, Denis Chatelain et Sébastien Meynet présents lors de cette sortie de terrain ont fait passer de riches informations concernant l’exploitation des alpages dans le temps : la production du beurre, la fabrication des tavaillons, le dressage des chevaux, les chemins empierrés…
Le groupe a aussi pu repérer des tannes propices à un suivi scientifique. Mais pour quel objectif ? Le Geopark Chablais souhaite s’appuyer sur le site de Nifflon pour mener une étude de suivi de l’évolution du climat sur le territoire.Il s’agira de mener une étude de long terme avec des collégiens et des lycéens du Chablais pour comprendre le fonctionnement de ces tannes mais aussi pour sensibiliser les jeunes à l’ingéniosité des habitants qui parvenaient à exploiter ce milieu rude.
Le glaciologue Luc Moreau, et le géomorphologue et glaciologue Jean-Baptiste Bosson (aussi membre du Conseil Scientifique du Geopark Chablais) ont mis en place des premiers équipements afin de mesurer l’évolution des tannes à neige et à glace.
Jean Louis Meynet et Rémy Cornier, des médiateurs du Geopark Chablais, ont assisté aux repérages en vue de préparer de futures sorties pédagogiques.
Le Conseil scientifique du Géoparc débute une série de chroniques sur les actualités scientifiques du Géoparc Chablais. Première chronique par Yves BILLAUD et Stéphan JACQUET, membres du conseil scientifique.
Plongée parmi les pieux de la station Bronze final de Sous Le Moulin (photo : Yves Billaud / MCC-DRASSM – 2018)
De fin mars à début juin, l’histoire du Léman s’est un peu dévoilée. Sur le littoral de Chens-sur-Léman des archéologues plongeurs sont intervenus sous 3 à 5 mètres d’eau. L’objectif ? Établir un bilan de l’état de conservation sanitaire et compléter les observations sur des sites très particuliers, les palafittes, anciennement dénommés “cités lacustres”. Sur 4 kilomètres de rive, 7 stations du Néolithique et de l’âge du Bronze viennent documenter l’histoire des premiers peuplements d’agriculteurs et d’artisans entre 3000 et 850 ans avant notre ère.
Cette opération archéologique s’inscrit dans un
programme de suivi des stations palafittiques inscrites depuis 2011 au
patrimoine mondial de l’Unesco avec, pour le Léman, celle de Tougues. Ce
gisement, daté de la fin de l’âge du Bronze, s’avère à ce jour le mieux
conservé pour le pourtour du bassin lémanique. D’une superficie de plus de 4000
m², il présente non seulement la classique « forêt de pieux » (restes des
pilotis ayant supporté les habitations), mais aussi des couches de dépôts
riches en restes organiques divers (copeaux, feuilles, graines…) et en mobilier
archéologique (céramique, mais aussi vannerie, ainsi qu’une roue en bois).
Lors d’une précédente intervention, une étude de la succession des différentes couches du sol (sondage stratigraphique) et des datations des pieux en bois (par la dendrochronologie, méthode basée sur les cernes de croissance des arbres) avaient été effectuées. Elles ont permis de mettre en évidence 3 périodes principales d’occupation entre -1071 et -859, entrecoupées de 2 remontées brèves du niveau du lac.
Ci-contre : Yves Billaud présente l’un des pieux, vestiges des pilotis ayant supporté les habitations des hommes du Néolithique
Le gisement exceptionnel de Tougues pouvant encore livrer de nombreuses informations, la préoccupation actuelle est de surveiller son évolution et, si nécessaire, d’envisager des actions de sauvegarde. Si le site est protégé des pratiques plaisancières par un balisage, il reste soumis à des risques d’érosion, tant par la houle aux effets amplifiés lors des abaissements périodiques du niveau du lac les années bissextiles que par des actions plus particulières comme le creusement de terriers par les écrevisses ou l’envahissement par des moules. Mais, comme cela a été montré lors de la conférence grand public du mercredi 30 mai dans l’amphithéâtre du collège de Margencel, la situation parait, au moins pour le site de Tougues, relativement stable, tout en restant à confirmer sur la durée. Et au-delà de ces interventions de terrain et de leur collecte de données, la question de la valorisation de ce patrimoine se pose.
Cet article sera suivi par une présentation plus détaillée des connaissances acquises sur le site de Tougues, à paraitre dans la prochaine newsletter du Géoparc.
Ouverture du sentier numérique de la Pierre à Martin
Vendredi 8 juin a eu lieu à Ballaison l’inauguration du sentier pédagogique numérique réalisé par les élèves de l’école de la Colline. Découverte de ce projet scolaire conçu en collaboration avec le Géoparc.
Le projet
En partenariat avec le Géoparc mondial UNESCO du Chablais, et dans le cadre d’un projet mis en place avec de Groupe « Sciences – partenaires » de l’Inspection de l’Éducation Nationale de Thonon-les-Bains, les élèves de CE2-CM1 et de CM1-CM2 de l’école de la Colline à Ballaison ont conçu un sentier pédagogique numérique.
Ils ont ainsi créé des vidéos, dessins et enregistrements audio pour présenter ce site aux promeneurs à travers différentes approches : historique, scientifique, légendaire, culturelle… Ces réalisations ont été mises en ligne sur un site internet spécialement créé pour le projet.
Comment cela fonctionne ?
Des QR codes personnalisés ont été apposés sur les panneaux d’interprétation du Géoparc déjà présents sur le géosite de la Pierre à Martin. Les promeneurs peuvent, avec un smartphone équipé d’un lecteur de QR codes, « flasher » et ainsi visionner directement les vidéos sur leur téléphone.
Ce projet, qui a débuté en novembre 2017, est né de la volonté des enseignants de Ballaison de travailler avec leurs élèves sur la découverte du patrimoine de leur village. C’était la parfaite occasion de collaborer avec le Géoparc : en effet, emblématique du village, la Pierre à Martin fait partie des 23 sites aménagés par le Géoparc mondial UNESCO du Chablais dans le but de valoriser les patrimoines locaux. Ce projet pédagogique a permis aux élèves de s’approprier et d’enrichir le site. Ils ont pu découvrir le passé du village et contribuer à le faire vivre pour l’avenir, à l’aide de technologies numériques.
L’inauguration du sentier
L’orage n’aura pas découragé les organisateurs et le public lors de l’inauguration du sentier pédagogique, qui aura finalement été déplacée à la salle polyvalente de Ballaison. Après le mot d’accueil des enfants, Mme l’Inspectrice de l’Éducation Nationale de la circonscription de Thonon (Mme ARRAMBOURG), M. le maire de Ballaison (M. SONGEON), Mme la présidente du SIAC (Mme PFLIEGER), M. le Conseiller Département (M. Baud-Grasset) et Mme la députée (Mme LENNE) se sont succédés pour féliciter les différents acteurs ayant permis la réalisation de ce sentier – en particulier les élèves !
Du 26 mai au 3 juin 2018 s’est déroulée la Semaine du Géoparc du Chablais : retour sur les événements et temps forts de cette semaine de voyage en terre (presque) connue.
Marche nordique au cœur des zones humides, balade littéraire, découverte de la flore des montagnes, échappée belle en VTT à assistance électrique, lectures de paysages à partir des gravures du Musée du Chablais, ou encore initiations à la géologie, à la cueillette de plantes comestibles, au Land’Art, à la taille de silex et à l’allumage de feu, découvertes de la richesse des eaux du lac Léman ainsi que des secrets de sa formation…
La Semaine du Géoparc du Chablais a été bien remplie et a permis aux habitants du Chablais d’explorer les histoires des richesses de leur territoire.
Parmi les nombreux temps forts de cette semaine, la conférence sur les Palafittes UNESCO d’Yves Billaud, Ingénieur de recherches, a été un moment marquant et applaudi par un public curieux et ravi de découvrir les secrets de l’archéologie lacustre et comment celle-ci révèle un patrimoine mondial de l’humanité à Chens-sur-Léman : l’une des « cités lacustres » de l’âge de Bronze.
Ces moments de découvertes et de partage de connaissances ont été permis grâce à la participation du Département de la Haute-Savoie dans le cadre de sa politique Espaces Naturels Sensibles.
Le 27 mars 2018 sonnait la première réunion de l’année pour le Conseil Scientifique du Géoparc. Retour sur les échanges et annonces de cette rencontre.
Dès les premiers jours du printemps, le SIAC a accueilli les membres de son Conseil Scientifique pour porter un regard objectif sur les projets du Géoparc du Chablais et amener de nouvelles propositions en ce qui concerne la diffusion des connaissances scientifiques relatives au territoire.
Géologues, géographes, historiens, directeur de CCSTI ou encore spécialistes en hydrologie, les participants – aux profils variés – ont alimenté les discussions visant à approfondir et améliorer la communication autour du Géoparc et plus généralement de la région du Chablais. Comment, en effet, faire connaître le Chablais, sa beauté, ses richesses naturelles, mais aussi sensibiliser les habitants aux aléas naturels et au dynamisme de leur territoire ?
Les membres du conseil ont été invités à prendre part aux projets du Géoparc : semaine du Géoparc du Chablais en mai, accueil d’une délégation russe sur le territoire (avec l’association Eurcasia), ou encore le travail en cours pour complémenter la malle pédagogique confiée aux collèges du territoire.
Enfin, le Conseil
scientifique s’est engagé à rédiger régulièrement des articles de
vulgarisation. Ces articles proposeront une lecture scientifique de
certaines actualités de la région. Il est prévu que des articles soient publiés
dans la revue Nature et Patrimoine, en plus d’un numéro qui sera
consacré au Géoparc à paraître en juin 2019. Certains de ces articles seront
également disponibles sur le site web du Géoparc, et d’autres seront proposés
sur la page Facebook du Géoparc.
La réunion s’est clôturée par des discussions
sur les nouvelles perspectives qu’offrent le Géoparc au service des
Chablaisiens.
Interview : Yves BILLAUD, le chercheur qui rend visibles les invisibles Palafittes
Yves Billaud, ingénieur de recherche et responsable du suivi des Palafittes Unesco, plonge actuellement dans les eaux à 6°C du Léman (pour la science). Il participe en effet à des recherches menées sur le site de Tougues, à Chens-sur-Léman, daté de l’âge de Bronze.
Site palaffitique de Tougues
Pouvez-vous présenter en quelques mots les institutions pour lesquelles vous travaillez, et l’objet de votre travail ?
Je suis ingénieur de recherche au sein d’un service du Ministère de la Culture spécialisé dans l’archéologie des milieux noyés, le DRASSM (Département des recherches archéologiques subaquatiques et sous-marines). Ce service gère l’archéologie du domaine public maritime et a un rôle d’expertise et de conseils pour les eaux douces.
Vous menez depuis mi-mars des recherches sur le site de Tougues, à Chens-sur-Léman. Pouvez-vous nous éclairer sur ce que sont les palafittes, et nous dire quelle est la spécificité de ce site ?
Repéré depuis le début du XIXe siècle, notamment en raison des nombreux pieux dépassant du fond du lac, le site de Tougues est l’exemple d’une station palafittique, ce que l’on appelait auparavant une “cité lacustre” et que l’on interprète maintenant comme un habitat installé sur le rivage à l’occasion de baisses du niveau de l’eau. Le site de Tougues est daté du Bronze final avec une occupation d’au moins 1071 à 859 avant notre ère. En 1987, une importante opération archéologique a montré que Tougues est l’un des sites les mieux conservés du lac Léman. Des couches archéologiques sont encore présentes et un sondage restreint a livré un important lot de céramiques ainsi que des objets en matière périssable, comme de la vannerie ou encore un des rares exemples de roue en bois.
Des premières recherches y ont été menées il y a plus de 20 ans, pourquoi y revenez-vous aujourd’hui ?
En 2011, l’Unesco a inscrit au patrimoine mondial de l’humanité un ensemble de 111 sites lacustres de l’arc alpin répartis dans six pays. Parmi ces sites, 9 sont dans les lacs de Savoie et de Haute-Savoie, dont celui de Tougues pour le lac Léman.
L’inscription implique pour chacun des pays de veiller à la conservation de ces sites et de mettre en œuvre les moyens nécessaires à cette conservation, protection juridique comme physique. À ce titre, le site a été balisé pour en interdire l’accès et actuellement nous intervenons pour en dresser un bilan sanitaire et mettre en place des repères permettant un suivi du couvert sédimentaire dépôts qui s’accumulent progressivement dans le lac). Cette démarche est également appliquée à six autres stations comprises dans la “zone tampon” qui encadre le site de Tougues, du débouché de la Vorze à la frontière suisse.
Que nous apprennent les sites palafittiques sur l’Homme ?
Les stations palafittiques, pour la plupart désormais immergés, ont permis la conservation de matériaux périssables, à la différence des sites terrestres. C’est pourquoi elles nous apportent des informations originales sur les modes de vie des premiers agriculteurs du Néolithique et artisans de l’âge du Bronze. D’autre part, ils sont de véritables marqueurs de modifications climatiques, questions d’une totale actualité.
Aurez-vous quelques résultats de ces recherches à présenter lors de votre conférence du 30 mai ?
Bien entendu : ma présentation vise à replacer l’inscription Unesco dans la longue histoire, de plus d’un siècle et demi, de la recherche archéologique lacustre dans les lacs de Savoie et de Haute-Savoie. Depuis les premières « pêches » aux antiquités au début du XIXe siècle, jusqu’aux travaux précurseurs menés dans les années 1930 sur le littoral lémanique etenfin la labellisation par l’Unesco, les pratiques ont beaucoup évolué !
Il s’agira ensuite d’essayer de “rendre visible l’invisible” en présentant les résultats obtenus il y a déjà deux décennies sur la station de Tougues, et surtout ces dernières années sur le lac du Bourget. Les premières interprétations qui en sont faites permettent d’approcher les modes de vie de ces populations riveraines d’il y a plus de 3000 ans.
A vos agendas : Yves BILLAUD donnera une conférence sur les recherches menées sur les Palaffites le mercredi 30 mai 2018, à 18h30 à l’auditorium du collège de Margencel.
Tous deux labellisés « UNESCO Global Geopark », les territoires de Sesia Val Grande (Italie) et du Chablais (France) partagent des enjeux communs et souhaitent développer leurs projets de coopération.
Un protocole officiel de coopération vient d’être lancé avec le Sesia Val Grande Geopark (Italie). Il définit les conditions de la mise en place d’un partenariat entre ce territoire et celui du Chablais.
Les deux territoires s’engagent notamment à :
Établir des échanges afin d’identifier des thèmes et des projets communs ;
Définir et mettre en œuvre des projets de coopération sur les thématiques communes ;
Échanger des informations et des compétences techniques pour développer des actions ;
Communiquer sur les actions de partenariat, ainsi que les travaux et résultats de ces collaborations.
Cette démarche fait suite à plusieurs rencontres entre les deux Géoparcs ces deux dernières années : par exemple en novembre dernier, le Chablais recevait le Geopark Sesia Val Grande Geopark (ainsi que le Rokua Geopark, Finlande) dans le cadre de la mise en place d’un projet Erasmus+.
Ainsi, une candidature commune pour un dossier Erasmus+ a été récemment déposée. Ce dossier propose un projet d’échanges entre des lycées de trois Géoparcs : Rokua en Finlande, Sesia Val Grande en Italie et le Chablais en France. Les élèves du lycée éco-responsable de la Versoie, situé à Thonon, vont bénéficier de ces échanges étalés sur 3 années. Ils travailleront sur la thématique des changements climatiques, celle du développement durable, et feront la rencontre de diverses professions : ingénieur, géologue, guide, agriculteur…
Le Sesia Val Grande Geopark en quelques mots :
Le Sesia Val Grande Geopark, 9e Géoparc italien et le 100e mondial, est situé au nord-est du Piémont entre le Mont Rose et le Lac Majeur. Il s’étend sur les vallées alpines de Sesia et de Val Grande. Le territoire couvre 85 communes réparties sur 214 000 hectares. Sa labellisation en tant que Géoparc est le fruit d’une volonté commune entre le Parc National de Val Grande et l’association de géotourisme Supervolcano Valsesia.
Anecdote notable, le marbre utilisé pour construire la cathédrale de Milan au XIVe siècle provient de ce territoire.
Save the date : Semaine du Géoparc du Chablais 2018
Le Géoparc du Chablais vous donne rendez-vous le weekend des 20 et 21 mai à Evian, puis du samedi 26 mai au dimanche 3 juin 2018 aux quatre coins du Chablais pour la 1ère édition d’un voyage en terre (presque) connue.
Dans le cadre de la Semaine européennes des Géoparcs, le territoire du Chablais fête son label UNESCO !
Un avant-goût vous sera présenté par l’équipe du Géoparc lors du FESTILEMAN le weekend des 19 et 20 mai à Evian : expériences et découvertes seront de mise.
Puis du 26 mai au 2 juin, sorties pour petits et grands, découvertes sportives ou artistiques, balades enchantées, visites en famille ou encore conférence insolite… vous attendent pour (r)éveiller votre curiosité. Ces activités sont encadrées par des professionnels passionnés amoureux de leur territoire.
Le programme sera prochainement dévoilé en détails, mais il prévoit déjà :
10 animations et ateliers gratuits
Des offres spéciales dans 5 sites de visite partenaires
Une conférence le mercredi 30 mai, pour percez les secrets des Palafittes avec Yves BILLAUD, Ingénieur de recherches archéologiques subaquatiques et sous-marines qui pilote les fouilles du site de Chens-sur-Léman. Ce site est inscrit au Patrimoine mondial de l’Unesco pour ses vestiges d’habitats de la fin de la Préhistoire, les Palafittes. Rendez-vous à 18h30 à l’Auditorium du collège de Margencel.
Soyez les premiers à découvrir le programme complet de la Semaine du Géoparc du Chablais en vous abonnant à notre page Facebook
Scolaires : des nouveautés pour le catalogue pédagogique 2018-2019
La nouvelle édition du catalogue pédagogique peut-être consultée en ligne dès aujourd’hui. L’ensemble des établissements scolaires du Chablais recevra prochainement un exemplaire imprimé.
La nouvelle édition propose aux enseignants 55 offres pédagogiques :
38 sorties à la demi-journée ou à la journée,
11 ateliers à l’école ou sur un site partenaire du Géoparc,
et 11 séjours ou courts-séjours.
L’édition 2018-2019 est téléchargeable en ligne et les pages web ateliers et sorties seront actualisées prochainement. En attendant, vous pouvez aussi le feuilleter en cliquant ici.
De la maternelle au lycée, les offres pédagogiques du Géoparc répondent aux programmes scolaires tout en permettant la découverte et l’appropriation du territoire par les élèves, comme cela est spécifié dans notre partenariat avec l’Éducation Nationale.
Les nouveautés
Cette année, les séjours scolaires axés sur la découverte du Géoparc du Chablais ont été mis en avant. Pour le cycle 3, six centres d’hébergement partenaires proposent des semaines de découverte regroupées sous la thématique « le Géoparc du Chablais raconte l’histoire des Alpes ». Les collèges et lycées bénéficient quant à eux de cinq offres réparties sur le territoire.
Autres nouveautés de cette édition :
la sortie « Les rôles de la forêt » (p. 20)
la sortie couplée d’une visite « Traditions en vallée d’Abondance » (p. 21)
la sortie « Des ressources naturelles minérales » (p. 45)
l’atelier « En quête de pierres à l’Abbaye d’Abondance » (p. 56)
l’atelier « Enquête au lac de Montriond » (p. 57)
l’atelier « Ça gaze sur le Gavot » (p. 61)
l’atelier « De l’eau pour les chèvres du Petit Mont » (p. 62)
Différents dispositifs existent pour aider à mettre en place et financer des projets éducatifs, mais dans certains cas les dossiers sont à rendre dès le mois de mai de l’année n-1 (plus de renseignements p.7 du catalogue).
Pour rappel, le SIAC propose en 2018 et en 2019 une aide financière à hauteur de 400 euros pour chaque collège souhaitant réaliser un projet pédagogique en lien avec la malle Géoparc distribuée en novembre 2017. En retour, les collèges présenteront un court résumé des activités réalisées grâce à ce financement.
Retrouvez l’ensemble de l’offre scolaire du Géoparc sur la page dédiée au volet scolaire
Contact
Tiffany Sarre
04 50 04 65 38
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